- EAN13
- 9782714436795
- ISBN
- 978-2-7144-3679-5
- Éditeur
- Belfond
- Date de publication
- 04/10/2001
- Collection
- Littérature étrangère
- Nombre de pages
- 230
- Dimensions
- 23 x 14 x 2 cm
- Poids
- 308 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 823.914
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Une chute très lente
De Anita Brookner
Traduit par Michelle Herpe-Voslinsky
Belfond
Littérature étrangère
Chronique intimiste de la vie de deux sœurs d'âge mûr, formidable étude de caractères, Une chute très lente est un roman à l'écriture subtile et précise, dans cette veine introspective qu'Anita Brookner porte ici à sa perfection.
Miriam et Beatrice Sharpe ont grandi à Londres dans un foyer étriqué, entre des parents aigris et hostiles. Très proches, les deux sœurs n'en sont pas moins différentes. Beatrice, l'aînée, est accompagnatrice au piano. Sensible, trop romantique, elle n'a jamais cessé d'attendre le prince charmant. La cadette, Miriam, traductrice, plus sérieuse et plus pragmatique s'est mariée à trente-cinq ans - un mariage sans amour qui n'a pas duré.La cinquantaine venue, les deux femmes doivent se rendre à l'évidence : la vie ne les a pas comblées. Elles n'avaient espéré trouver l'amour, la tendresse et le respect. Mais les hommes les ont blessées, leurs professions les ont déçues, la frustration les a gagnées. Pourtant, il reste un espoir... En choisissant de partager le même appartement, elles renouent leur complicité d'antan et se donnent la force de croire une dernière fois à l'amour, au mariage, au bonheur...
Miriam et Beatrice Sharpe ont grandi à Londres dans un foyer étriqué, entre des parents aigris et hostiles. Très proches, les deux sœurs n'en sont pas moins différentes. Beatrice, l'aînée, est accompagnatrice au piano. Sensible, trop romantique, elle n'a jamais cessé d'attendre le prince charmant. La cadette, Miriam, traductrice, plus sérieuse et plus pragmatique s'est mariée à trente-cinq ans - un mariage sans amour qui n'a pas duré.La cinquantaine venue, les deux femmes doivent se rendre à l'évidence : la vie ne les a pas comblées. Elles n'avaient espéré trouver l'amour, la tendresse et le respect. Mais les hommes les ont blessées, leurs professions les ont déçues, la frustration les a gagnées. Pourtant, il reste un espoir... En choisissant de partager le même appartement, elles renouent leur complicité d'antan et se donnent la force de croire une dernière fois à l'amour, au mariage, au bonheur...
S'identifier pour envoyer des commentaires.