- EAN13
- 9782501119269
- Éditeur
- Marabout
- Date de publication
- 19/09/2018
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - MARAbulles 39,00
Ce récit graphique raconte, depuis les années 60, la montée tragique qui va
conduire au génocide Khmer, depuis la fuite du prince Sihanouk en 1969 jusqu’à
la prise de Phnom Penh le 17 avril 1975.
Un gamin emprunte un sentier interdit. Il s’enfonce dans la végétation et il
voit les pendus dans les arbres. Ce gamin, c’est Séra, il a neuf ans. En 1975,
ses parents et leurs trois enfants sont expulsés par les Khmers rouges. Phnom
Penh est tombé, Pol Pot arrive. Son père khmer, est expulsé de l’enceinte de
l’Ambassade de France où la famille a trouvé refuge ! Séra est alors âgé de
quatorze ans. Il est encore trop tôt pour qu’il puisse raconter la vie «
d’avant ».
Séra sait parfaitement que les mots seuls sont bien faibles pour dénoncer
cette violence, cette barbarie. De plus, les mots laissent la place à une zone
floue où le « sacro-saint » imaginaire du lecteur risque de s’engouffrer et de
l’emmener bien loin de la réalité…Il n’en est pas question ! C’est pourquoi
l’image s’impose.
Préface par Tardi
conduire au génocide Khmer, depuis la fuite du prince Sihanouk en 1969 jusqu’à
la prise de Phnom Penh le 17 avril 1975.
Un gamin emprunte un sentier interdit. Il s’enfonce dans la végétation et il
voit les pendus dans les arbres. Ce gamin, c’est Séra, il a neuf ans. En 1975,
ses parents et leurs trois enfants sont expulsés par les Khmers rouges. Phnom
Penh est tombé, Pol Pot arrive. Son père khmer, est expulsé de l’enceinte de
l’Ambassade de France où la famille a trouvé refuge ! Séra est alors âgé de
quatorze ans. Il est encore trop tôt pour qu’il puisse raconter la vie «
d’avant ».
Séra sait parfaitement que les mots seuls sont bien faibles pour dénoncer
cette violence, cette barbarie. De plus, les mots laissent la place à une zone
floue où le « sacro-saint » imaginaire du lecteur risque de s’engouffrer et de
l’emmener bien loin de la réalité…Il n’en est pas question ! C’est pourquoi
l’image s’impose.
Préface par Tardi
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