Le mythe des morts prématurées dues à la pollution de l'air, L'exagération officielle des décès dus à la pollution de l'air, au tabac et à l'alcool
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EAN13
9782140263958
Éditeur
L'Harmattan
Date de publication
Collection
Sciences et Société
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Le mythe des morts prématurées dues à la pollution de l'air

L'exagération officielle des décès dus à la pollution de l'air, au tabac et à l'alcool

L'Harmattan

Sciences et Société

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L'agence Santé publique France chiffrait le nombre desdécès dus à la pollution
de l'air à 48 000 en 2016. Cette évaluation a été prise à son compte par le
gouvernement qui a proposé des mesures pour réduire la circulation automobile
à l'origine de cette pollution. Depuis, les évaluations s'envolent : 67 000
décès selon la Société européenne de cardiologie ou 97 242 selon un groupe
d'universités mené par Harvard. Cette inflation est saluée sans aucune
critique par la presse et les médias. La comparaison entre un Massif central
très peu pollué et l'Île-de-France très polluée montre que le pourcentage de
décès par rapport à la population est identique pour toutes les tranches
d'âge. La pollution n'a donc aucun effet sur la mortalité. Santé publique
France décompte des « décès attribuables » au tabac ou à l'alcool.
L'utilisation des statistiques de décès dus aux morts violentes et aux
pathologies autres que celles retenues pour ce décompte permet de montrer que
les décès attribués à ces addictions sont très surévalués.
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