- EAN13
- 9791091902793
- ISBN
- 979-10-91902-79-3
- Éditeur
- Fario
- Date de publication
- 19/11/2021
- Collection
- THEODORE BALMOR
- Nombre de pages
- 160
- Dimensions
- 18,6 x 12,1 x 1,6 cm
- Poids
- 180 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Le Chant du possible regroupe huit textes sur le jazz à travers lesquels Jacques Réda continue d’explorer, en le précisant, le rapport qu’il entretient au jazz depuis sa jeunesse : elle en fut éclairée.
Le jazz est immédiateté. Si bien que concevoir l’intensité de sa déflagration dans sa spontanéité, dansante la plupart du temps, c’est accéder à la révélation du Temps à un moment donné. Et ce n’est pas rien quand on se sait mortel.
Si le jazz est l’aventure d’une « aptitude rythmique, associée à des dons d’expression harmonico-mélodiques et d’expressivité sonore », bref, l’aventure d’une personnalité qu’elle soit individuelle ou collective, il ne se conçoit pas sans le Swing. Ce swing est la « qualité particulière qui se dégage et ne peut se dégager que d’un rythme à deux ou quatre temps où l’accent se porte sur le temps faible », dont le jazz est inséparable. Il ne l’est pas non plus du Blues dont souvent il découle, empreint alors de tristesse ou de joie, c’est selon, mais jamais « sans sa charge affective et ontologique d’humanité ».
C’est dire qu’on s’y retrouve quand on s’est ou qu’on se sait perdu.
Dans Le Chant du possible, Jacques Réda écrit : « Je me suis constitué, après plus de trois quarts de siècle, un petit trésor de méconnus et d’oubliés où je puise et que j’augmente avec le même intact ravissement. »
À côté des grands noms du jazz, c’est ce petit trésor que nous proposons à nos lecteurs de découvrir avec le même ravissement.
Les huit textes portent les titres suivants :
1.Au moment donné, 2. Le Chant du possible, 3. Jabbo Smith, 4. Écrire le jazz, 5. Lester Young ou L’Ironie du saut, 6. Round about Monk, 7. Une actualité permanente, 8. Now’s The Time ou Le Temps selon Charlie Parker.
Le jazz est immédiateté. Si bien que concevoir l’intensité de sa déflagration dans sa spontanéité, dansante la plupart du temps, c’est accéder à la révélation du Temps à un moment donné. Et ce n’est pas rien quand on se sait mortel.
Si le jazz est l’aventure d’une « aptitude rythmique, associée à des dons d’expression harmonico-mélodiques et d’expressivité sonore », bref, l’aventure d’une personnalité qu’elle soit individuelle ou collective, il ne se conçoit pas sans le Swing. Ce swing est la « qualité particulière qui se dégage et ne peut se dégager que d’un rythme à deux ou quatre temps où l’accent se porte sur le temps faible », dont le jazz est inséparable. Il ne l’est pas non plus du Blues dont souvent il découle, empreint alors de tristesse ou de joie, c’est selon, mais jamais « sans sa charge affective et ontologique d’humanité ».
C’est dire qu’on s’y retrouve quand on s’est ou qu’on se sait perdu.
Dans Le Chant du possible, Jacques Réda écrit : « Je me suis constitué, après plus de trois quarts de siècle, un petit trésor de méconnus et d’oubliés où je puise et que j’augmente avec le même intact ravissement. »
À côté des grands noms du jazz, c’est ce petit trésor que nous proposons à nos lecteurs de découvrir avec le même ravissement.
Les huit textes portent les titres suivants :
1.Au moment donné, 2. Le Chant du possible, 3. Jabbo Smith, 4. Écrire le jazz, 5. Lester Young ou L’Ironie du saut, 6. Round about Monk, 7. Une actualité permanente, 8. Now’s The Time ou Le Temps selon Charlie Parker.
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