Boys don't cry

En partenariat avec les éditions Ecole des loisirs, les librairies Initiales publient un livret proposant 20 romans jeunesse à partir de 6 ans qui dégomment les clichés de genre.
Il rassemble des chroniques coups de coeur accompagnées d'une interview de Marie-Aude Murail réalisée par sa propre fille.

7,50

Il a beau porter le nom d’un héros grec, Ulysse n’a aucun goût pour l’aventure. Rester à la maison en compagnie de son chat serait même l’une de ses activités préférées. Mais lorsque Farine disparaît, Ulysse n’hésite pas à braver tous les dangers pour le retrouver. Le voilà prêt à frapper à la porte du garçon d’en face, celui qui collectionne les squelettes, et même à demander de l’aide aux frères Mizzi, les chefs du Clan des Démolisseurs. Toute une aventure !


8,50

Thomas a rendez-vous avec le docteur Zblod qui ne l’ausculte pas, ne regarde ni sa gorge ni ses oreilles.
Ce n’est pas ce genre de docteur.
C’est un spécialiste des angoisses et des cauchemars.
On peut lui dire tout ce qui nous passe par la tête, a dit maman. Thomas craint que cette phrase n’agisse comme une malédiction, et que n’importe quoi, absolument n’importe quoi lui passe par la tête.
« – Les cauchemars que tu fais le jour, est-ce que ce sont toujours les mêmes ? a demandé le docteur.
– Il y en a plusieurs sortes. Mais il y en a un qui revient plus souvent que les autres.
– Est-ce que je peux te demander de quel cauchemar il s’agit, si ce n’est pas indiscret ?
C’était un moment important, parce que j’allais prononcer le nom qui compte le plus dans ma vie. »
Le nom qui compte le plus dans la vie de Thomas, depuis qu’il a vu le film, c’est celui de Nanouk l’Eskimo.


6,50

Quand la mono du centre aéré a demandé ce qu’on avait comme passion pour animer son propre atelier, Gaspard a répondu « Haïku ».Ça commençait très mal. Les haïkus, les autres ne savaient même pas ce que c’était et une grosse brute l’a surnommé « Aïe-mon-Kiki » et traité de tapette. Tant mieux, après tout. Parce qu’en vérité, cette passion, Gaspard ne souhaite la partager avec personne. Il souhaite rester seul avec elle. Personne ne le fera changer d’avis. Même pas cette fille en survêtement violet qui refuse de sourire, et qui propose « Charlotte au chocolat ». 9/11 ans.


13,00

Julian est avec Mamita, sa grand-mère. Leur métro s'arrête et des sirènes montent à bord. Julian adore les sirènes. «?Moi aussi, je suis une sirène, dit-il?». Une fois seul, il s'apprête, couronne sa tête de longues feuilles vertes qu'il orne de fleurs colorées, noue un long rideau couleur crème à sa taille. Il est prêt. Mamita et lui partent main dans la main vers la parade.


6,50

Jouer au foot, pleurer, danser, conduire un avion, faire des découvertes… Tout le monde peut le faire. Filles comme garçons. Chacun avec ses goûts, ses envies et son caractère.